Projets gagnants de l'année précédente

2020-2021

Prix de reconnaissance national

Les murs, est-ce bien utile?

Centre de services scolaire des Affluents

École Aux 4 Vents 

Responsables du projet : Sarah Blouin et Caroline Gariépy

Deux enseignantes pratiquant le coenseignement en 6e année du primaire ont eu envie de souligner le 30e anniversaire d’un événement qui a marqué l’histoire : la chute du mur de Berlin. Passionnées de littérature jeunesse, curieuses et engagées, elles ont opté pour la lecture d’albums en réseau et ont posé la question suivante à leurs élèves : « Les murs, est-ce bien utile? ». La lecture d’une dizaine d’albums fertiles réunis autour du thème du mur a été le déclencheur d’activités d’écriture, de communication orale, d’univers social, d’éthique et culture religieuse et d’arts. Cette aventure a permis aux élèves de développer leurs compétences en lecture, mais a aussi mené les enfants et leur famille à se questionner sur le monde dans lequel ils vivent, et donc à mieux l’habiter. Certains albums du réseau ont permis d’aborder des sujets délicats tels que l’exclusion et l’acceptation, les compromis et les droits de la personne. La richesse des albums a amené les enfants à résoudre des problèmes à leur mesure concernant des enjeux de taille. Au terme de ce projet, les enseignantes ont noté une sensibilité plus grande chez leurs élèves. La lecture en réseau thématique a aussi augmenté l’éventail des rencontres possibles entre les jeunes lecteurs et les livres. En utilisant des dispositifs de lecture variés favorisant l’engagement et la motivation, Sarah et Caroline ont permis aux élèves d’acquérir des habitudes de lecture durables. Bravo!

Notre école comme un livre ouvert

Commission scolaire crie

École Annie Whiskeychan Memorial

Responsable du projet : Annie Loyer

Ce projet de littératie communautaire en milieu autochtone est simple : des personnes de la communauté crie de Waskaganish, issues de tous les milieux, sont invitées à venir dans une classe de l’école primaire pour lire ou raconter une histoire. Le but est de promouvoir la littératie chez les jeunes de la communauté et de leur donner des modèles diversifiés de lecteurs auxquels ils peuvent s’identifier. Les élèves apprennent aussi, dans ce projet où l’oralité est placée sur le même plan que la lecture, que la tradition orale propre à la culture crie fait partie de la littératie. Les histoires racontées oralement le sont presque toujours en cri, puisque la vitalité de la langue maternelle est primordiale pour construire une littératie dans une langue seconde ou tierce. Plus largement, ce projet se veut une façon pour les gens de Waskaganish de guérir certaines blessures liées aux écoles résidentielles. Les membres de la communauté sont invités à devenir des acteurs du projet, à y jouer un rôle, à collaborer directement avec les enseignants. De plus, la diffusion des activités sur les réseaux sociaux contribue à modifier l’image, souvent négative, que la population a de l’école. On y montre des expériences réussies, une communion entre les enfants et les invités, du plaisir. La portée de ce projet, qui prend appui sur l’importance du sentiment d’efficacité personnelle, a grandement touché notre jury.

Prix pédagogique

Rêver pour changer le monde

Centre de services scolaire des Découvreurs

École des Pionniers

Responsable du projet : Mélanie Boutin                

Ce projet est au départ une initiative de deux élèves de 5e année, grandes lectrices, qui souhaitaient partager leur passion, mais surtout aider et influencer positivement leurs collègues de classe au regard de la lecture. Elles ont donc trouvé une vidéo et un livre expliquant comment motiver les jeunes à lire, avant de convaincre Mélanie Boutin et de mobiliser tout le groupe. En coopération, les élèves de la classe ont créé des affiches et des capsules vidéo qui font la promotion de cinq clés de la motivation en lecture : « 1) Choisis un livre lié à ta passion; 2) Demande des suggestions de lecture à tes amis; 3) Retiens le nom de tes auteurs préférés; 4) Emprunte un livre audio ou numérique; 5) Aie un livre avec toi en tout temps. » Les élèves suggèrent aussi d’avoir un carnet où noter les suggestions et écrire de courtes appréciations, de demander des conseils aux libraires et aux bibliothécaires et de consulter différents sites Web. Ils ont pensé les cinq clés pour qu’elles passent un message clair et efficace et qu’elles s’adaptent à tous les types de lectures. Les élèves ont par la suite préparé des animations pour les classes de l’école et proposé de représenter les conseils sous forme de saynètes. Exposés à l’univers de la bande dessinée, ils ont finalement élaboré une trousse de bandes dessinées et créé pour la valoriser des outils numériques (bande annonce, questionnaire en ligne, etc.) à partager avec les autres classes de 5e année. Des élèves engagés, motivés, qui s’améliorent et découvrent le plaisir de lire, voilà de quoi célébrer!

Celebrating Different Holidays with Harry Potter

Centre de services scolaire de la Pointe-de-l’Île

École Calixa-Lavallée

Responsable du projet : Mildred Saintfort

Ce projet en anglais, langue seconde, a permis aux élèves de découvrir l’univers riche de J. K. Rowling et de son célèbre personnage, Harry Potter, par le biais du tome 1 de la série, Harry Potter and the Philosopher’s Stone. Pour soutenir la motivation de ses élèves au fil de l’année scolaire, l’enseignante a établi un parallèle entre leur première année au secondaire et la première année des personnages à Hogwarts en se servant des coutumes et fêtes de la culture anglaise. Ainsi, les élèves ont, à l’Halloween, présenté un tour de magie en communication orale et, en décembre, échangé sur le roman en participant à un cercle de lecture avec thé de Noël. Regroupés en maisons comme dans le livre, les élèves se sont livrés une saine compétition tout au long de l’année pour gagner la House Cup. Ils pouvaient amasser des points en remettant leurs devoirs à temps et en participant en classe, mais surtout, en lisant d’autres livres en anglais et en remplissant un carton d’appréciation pour chaque livre lu. Tous se sont mené une chaude lutte! Comme dans le roman, la maison ayant accumulé le plus de points a remporté un dîner, aux couleurs de son emblème, pour la Saint-Valentin. Pour clore l’aventure, les élèves ont écrit une lettre à l’auteure. Cette expérience d’immersion dans l’univers de J. K. Rowling marquera assurément leur cheminement de lecteur.

Prix de l’Association québécoise des utilisateurs d’outils technologiques à des fins pédagogiques et sociales (AQUOPS)

Littérature et identité numérique

Centre de services scolaire des Découvreurs

École Les Sources

Responsables du projet : Annie Marois, Mélanie Therrien et Geneviève Santerre

Ce projet, réalisé en collaboration avec les services nationaux du RÉCIT des domaines des langues et du développement de la personne, a permis de créer une banque d’activités de lecture interactive à partir d’albums de littérature jeunesse en lien avec la réflexion éthique. Ces activités (accessibles sur le site du RÉCIT Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.) s’inscrivent dans une démarche de développement de la citoyenneté à l’ère du numérique et intègrent plusieurs éléments clés du processus d’autonomisation éthique. Ancrées dans la première dimension du Cadre de référence de la compétence numérique (« Agir en citoyen éthique à l’ère du numérique »), les lectures interactives et les activités de réinvestissement proposées permettent à l’apprenant de développer et de mobiliser ses habiletés technologiques ainsi que de produire du contenu à l’aide du numérique. De plus, elles permettent à l’enseignant de modéliser une lecture experte auprès des élèves, de faire un étayage en ce qui a trait à l’utilisation des stratégies de lecture, de soutenir les stratégies de compréhension (prédiction, inférence et résumé) et de développer le vocabulaire. Voilà des pratiques efficaces, ancrées dans le monde d’aujourd’hui et les enjeux auxquels les jeunes sont confrontés.

Prix de l’Association pour la promotion de services documentaires scolaires (APSDS)

Une bibliothèque pour tous!

Centre de services scolaire des Premières-Seigneuries

École de l’Envol

Responsables du projet : Céline Crépin et Émilie Léger

Le projet de l’école de l’Envol vise à améliorer l’accès à la littérature et à rehausser les compétences en littératie d’élèves ayant un haut niveau de handicap. Cette école est spécialisée en déficience intellectuelle moyenne, sévère et profonde. Pour ses élèves, âgés de 4 à 21 ans, la lecture et l’écriture représentent des contextes propices au développement du vivre-ensemble, de la participation sociale et de la littératie : on lit par exemple un texte qui décrit le chemin qu’il faut emprunter pour se rendre au local de musique ou un autre qui porte sur les champs d’intérêt de chaque élève de la classe. Ces quatre dernières années, le milieu de la recherche (Karine N. Tremblay professeure à l’UQAC, André C. Moreau professeur à l’UQO, Ruth Philion professeure à l’UQO, Julie Ruel professeure associée à l’UQO et Ernesto Morales professeur à l’ULaval), les services éducatifs du CSSDPS (Emilie Léger bibliothécaire scolaire, Valérie Cauchon professionnelle en adaptation scolaire et Catherine Picard professionnelle en adaptation scolaire) et l’école se sont associés dans un partenariat interdisciplinaire (éducation et architecture inclusive). Le projet fait appel à divers moyens, tels que la formation des intervenants et la mise en place de communautés de pratique. Au programme : l’expérimentation d’approches probantes en littératie auprès d’une clientèle en déficience intellectuelle; l’aménagement d’un lieu accessible qui suscite l’intérêt de tous les élèves et favorise des approches pédagogiques variées; l’enrichissement et l’exploitation des collections disponibles à la bibliothèque. Grâce à cette initiative, les intervenants de l’école ont modifié leurs pratiques pédagogiques de façon significative et durable. Ils ont constaté à quel point une approche collaborative pouvait soutenir leur développement professionnel. Le projet leur a permis de sortir de l’isolement et de découvrir la source d’inspiration que constitue la classe voisine. Ils ne voient plus leurs élèves de la même manière, puisque ceux-ci les étonnent par leur capacité insoupçonnée de s’intéresser à la lecture et d’apprendre. Ainsi, au fil des formations et des expérimentations, le discours a changé dans l’école. Ce projet est un puissant levier qui permet à l’école de l’Envol de se démarquer et surtout, espérons-le, d’inspirer d’autres milieux à changer.

Prix de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)

Kamouraska entre fiction et réalité

Centre de services scolaire des Affluents

École du Coteau

Responsable du projet : Christophe Surget

En présentant le roman Kamouraska d’Anne Hébert à ses élèves de 4e secondaire, Christophe Surget leur a proposé de s’interroger sur le contexte socioculturel d’une œuvre pour mieux la saisir. À partir d’un extrait où l’héroïne fait face à un mariage auquel elle ne consent pas, quatre thèmes ont été abordés : le mariage et l’Église, la ville et les villageois, la condition de la femme (et Anne Hébert) et l’environnement. Au cours du projet, l’utilisation d’objets culturels de la collection de BAnQ Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. a démontré le potentiel transdisciplinaire de ceux-ci. Découvrir que ce roman est basé sur un fait vécu en se servant d’un document primaire comme dans une enquête, associer une image à un thème de leur choix, justifier cette combinaison en discutant en sous-équipe, voilà des activités motivantes pour les élèves! Les ressources de la bibliothèque ainsi exploitées ont permis aux élèves de mieux comprendre et imaginer les lieux, le mode de vie et le contexte sociohistorique dépeints dans l’œuvre étudiée, et donc de mieux comprendre et apprécier celle-ci. Le cours d’histoire a mis en lumière le contexte sociopolitique et la condition féminine du 19e siècle, les inégalités entre hommes et femmes, des exemples de mouvements lancés par les femmes et des conséquences de leur manque d’éducation, imposé par les hommes. Par ce projet, les élèves ont donc pris conscience de l’importance de se questionner sur une œuvre pour en comprendre la valeur, mais aussi mieux saisi les relations entre l’histoire et la littérature.

Prix de l’Association québécoise des enseignantes et des enseignants du primaire (AQEP)

Rendez-vous littéraires

Centre de services scolaire des Chics-Chocs

École Saint-Rosaire

Responsables du projet : Caroline Boudreau et Stéphanie Noël

Caroline Boudreau, enseignante de 2e année, a eu l’idée d’animer, sur la plateforme Via d’École en réseau, des lectures interactives pour les enseignants du Centre de services scolaire des Chics-Chocs et leurs élèves. Les objectifs : aider ses collègues à se lancer à leur tour et faire vivre cette expérience à leurs élèves. Elle s’est alors tournée vers Stéphanie Noël, la bibliothécaire du centre de services, pour l’organisation conjointe de cette activité. C’est ainsi qu’est né le concept de rendez-vous littéraires. Lors de ces rendez-vous, les élèves sont témoins d’un modèle de lecteur expert et entendent des réflexions métacognitives qui favorisent la compréhension de la lecture. La confrontation des points de vue au cours de discussions aide les élèves à nuancer leurs interprétations. Ils sont également amenés à réagir au texte. Des activités multidisciplinaires et interdisciplinaires sont aussi proposées en lien avec les albums, ce qui est très motivant. Même une tâche d’écriture n’est plus perçue comme une tâche pénible, mais plutôt comme le prolongement d’une activité signifiante. Les élèves adorent ces rendez-vous où plusieurs classes d’un peu partout au Québec se réunissent grâce à la technologie. Au sein du centre de services, ce projet parvient à toucher les écoles les plus défavorisées et brise l’isolement de petites écoles, tout en permettant à Stéphanie de répondre aux besoins de toutes. En plus d’être profitables pour les élèves et d’influencer positivement leur lien affectif avec la lecture, ces rendez-vous littéraires font rayonner les pratiques exemplaires auprès d’autres enseignants et maximisent les ressources. Félicitations!

Prix de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ)

Réseau littéraire sur Andrée Poulin

Centre de services scolaire de la Pointe-de-l’Île

École François-La-Bernarde

Responsable du projet : Julie Bédard-Dion

En élaborant le réseau littéraire sur Andrée Poulin, l’enseignante Julie Bédard-Dion avait pour but premier de travailler les quatre dimensions de la lecture en mettant l’accent sur l’appréciation littéraire. Mais à travers ses diverses activités, son projet a également mis en avant l’interrelation des compétences en français. Des thèmes liés au cours d’éthique et culture religieuse, tels que l’acceptation des différences, l’exclusion, le vivre-ensemble, les stéréotypes et l’entraide, ont aussi été abordés lors d’échanges, les albums présentant différents enjeux de société intéressants. Pendant un mois, chaque semaine, l’enseignante et ses élèves ont lu des œuvres d’Andrée Poulin. Différents dispositifs de lecture ont été utilisés : lecture à haute voix, lecture en duo, lecture interactive, entretien de lecture, lecture individuelle, etc. À la suite de chaque lecture, un retour en grand groupe permettait de relever et de colliger les particularités du style d’écriture de l’auteure. Un enseignement explicite sur la formulation d’une appréciation littéraire de qualité a aussi été réalisé. Cela a permis aux élèves de partager, une fois toutes les lectures du réseau littéraire terminées, une appréciation littéraire de leur album coup de cœur. Pour conclure le projet, les élèves ont écrit une lettre à l’auteure. En plus de se présenter et de faire part à l’auteure de leur appréciation littéraire, ils lui ont proposé une idée afin de l’inspirer, ayant appris que son processus d’écriture prend appui sur des choses qui arrivent dans la vie, qu’elle a vues, entendues ou lues. Tous les élèves ont reçu une réponse personnalisée de l’auteure, et ils étaient très contents! Voilà un projet motivant qui a permis à chaque enfant de s’engager activement pour développer ses habitudes de lecture dans un contexte significatif et authentique.

Prix de Communication-Jeunesse (CJ)

À la découverte de la multimodalité

Centre de services scolaire de la Capitale

École L’Odyssée

Responsables du projet : Sonia Blouin et Nancy Gamache

La littératie n’est désormais plus seulement textuelle, elle est bonifiée par divers modes : images, sons, etc. Dans ce projet, les chercheurs la Chaire en littératie médiatique multimodale, les professionnels du RÉCIT et ceux de la Commission scolaire de la Capitale ont permis à une enseignante de français et à ses élèves de 2e secondaire de développer leurs compétences grâce aux ressources numériques. Le premier volet du projet était lié à la compétence à lire et à apprécier des textes variés. Il avait pour but d’éveiller la curiosité des élèves pour la littérature québécoise et les ressources langagières privilégiées par certains auteurs et autrices en suscitant le plaisir de lire dans un contexte signifiant et novateur. Dans un rallye multimodal Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. hautement motivant, les élèves se sont donc approprié les caractéristiques du genre policier en réalisant une recherche documentaire à partir de ressources choisies. En découvrant des récits policiers de différents auteurs, ils ont pu consolider leur compréhension du genre et constater les particularités propres à chacun. Ils se sont ensuite inspirés des diverses manières de raconter pour écrire à leur tour. Bref, ce projet a permis aux élèves de réfléchir à leur pratique de lecteur, de développer des stratégies de lecture de textes multimodaux et de mieux cibler celles qui sont adaptées aux genres lus. Tout cela en découvrant des auteurs québécois!

Prix de reconnaissance en lecture

Programme bilingue d’éducation à la sexualité au préscolaire à l’aide de la littérature jeunesse 

Commission scolaire New Frontiers

École Mary Gardner

Responsables du projet : Catherine Garand-Butcher et Lolita Fuhlrott

Un aspect important de ce projet est la collaboration entre les enseignantes de français et d’anglais d’une classe préscolaire de l’école Mary Gardner. Celles-ci se sont appuyées sur le processus de recherche-action proposé par le programme FACET (Français, langue seconde et anglais, langue d’enseignement : collaboration et transfert), selon lequel une meilleure collaboration entre les personnes qui enseignent à un même groupe a des impacts positifs et significatifs sur les apprentissages. Elles ont donc intégré le programme d’éducation à la sexualité dans leur planification en français et en anglais, et ce, à l’aide de ce qu’elles connaissent très bien et que les enfants apprécient le plus dans leurs classes : la littérature jeunesse! Les albums jeunesse ont été sélectionnés de manière à permettre aux enfants de faire des liens, ce qui constitue une stratégie durable et efficace pour devenir un bon lecteur. Les sujets (les émotions, les parties du corps, les différences entre les garçons et les filles, les étapes de la naissance, etc.) étaient abordés dans une classe dans une langue, puis dans l’autre, et ainsi de suite. Différentes activités permettaient d’approfondir le sujet abordé, dont des lectures complémentaires que les enfants pouvaient réaliser en classe, dans le coin-lecture bilingue, ou à la maison, grâce à un sac de livres envoyé aux parents. Les enfants se sont montrés très engagés, pouvant parler d’eux, de leur famille et des situations qu’ils vivent. En plus d’exposer les tout-petits à la littérature jeunesse, ce projet leur permet de développer des compétences d’ordre personnel qui leur serviront toute leur vie. Bravo! Congratulations!

Formulaire d'appréciation

Formulaire d'appréciation
Comment avez-vous trouvé ce contenu?
Avez-vous rencontré un problème au cours de votre navigation? Faites-nous part de vos observations et aidez-nous à améliorer notre site. Évitez d’entrer des renseignements personnels dans ce champ.